Pour mon second week-end au Japon, Fabien et Elodie m’ont fait faire les deux bouts de la Ginza Line, d’un côté Asakusa et de l’autre Shibuya. Mais d’abord je tiens à tester le McDo au moins une fois alors…
Au McDo comme à plein d’autres endroits (les fast-food ou fast-drink comme Starbucks…), au moment de ramener son plateau il faut savoir jeter les restes dans la poubelle qui va bien. Sinon ?
Nous voilà à Asakusa, avec la Kaminarimon alias la Porte du Tonnerre. Par là, on arrive sur la Nakamise-dori, une rue bordée de boutiques traditionnelles (on y trouve ceintures, peignes, éventails, poupées non gonflables, et kimonos – de quoi combler les phantasmes de certains).
Au bout, on arrive au centre d’intérêt du lieu, le Senso-ji, un des temples les plus vénérés de Tokyo. Ne le cherchez pas je ne l’ai pas mis en photo ici ! Le temps est tout moche, je préfère y revenir plus tard et faire de jolies photos… donc ça viendra !
Et voici une petite pagode… avant de rejoindre une rue un peu plus touristique-like.
Les japonais et les chinois ont en commun cette manie de mettre des décorations horribles et inadaptées un peu partout. Ici, des fleurs de toutes les couleurs en plastique, et ça fait tout sauf naturel.
On croise un panneau avec une explication pour la moins étrange. Quoi j’ai bien compris ? Il faut pas donner à manger aux oiseaux sinon ils nous font pipi dessus ? Et si ils mangent des vers ils font des fleurs ? …
Ensuite, direction Shibuya. Voilà, c’est vraiment à l’autre bout de la ligne ! Et pour situer là où j’habite, c’est exactement à Ginza, et mon boulot à Shimbashi.
Arrivée à Shibuya, et tout de suite c’est un brutal changement de décor ! Gros buildings, publicité flashy, écran de TV géant, et surtout, des milliers de personnes. Regardez cette armée de l’autre côté de la route qui attends bien sagement que le petit bonhomme passe au vert… et ensuite c’est défilé, carnaval ! Les japonais sont tous fringués différemments, fashion ou pas, mais on y retrouve tous les styles.
Il se fait faim, Fabien nous conseille donc son sushi bar préféré (c’est peut-être plus le cas, on a trouvé mieux depuis). Ce n’est pas très cher, une paire de sushi revient à 80 centimes en moyenne.
Dans le coin on se met à la recherche d’un ciné histoire de matter un film américain, et on n’en trouvera un mais… les cinémas de Tokyo n’ont pas beaucoup de salles à chaque fois, donc pas beaucoup d’horaires disponibles, et la plupart des films sont traduits en japonais ! Ah, l’UGC va me manquer (et surtout la carte illimité, car ici la séance c’est 10?). Ensuite, la neige s’abat à nouveau sur nos têtes.
Sur le chemin du retour au métro, on croise un vendeur de kebab… il est caché donc l’histoire ne dira pas si il est japonais ou pas !
Un petit tour par le boulot…
Une horloge qui s’anime à certaines heures. A droite un restaurant traditionnel à Ginza avec une ambiance très traditionnelle.
Une petite soirée sur le pouce où j’ai été invité, avec un guitariste et des danseuses de flamenco.
Et une vue extraordinaire du boulot en soirée, avec la Tokyo Tower au coucher de soleil avec le mont Fuji derrière… c’est sans commentaire !